Lorsqu'on meurt donc, on serait à la case initiale et au-delà, cad que le temps est très contracté et semble durer une éternité, ralentit ou semble figé. Conclusion, on passerait plus de temps étant mort que vivant
Lorsqu'on est jeune, on a une fréquence élevée (le temps est contracté et semble plus long), plus on vieillit, plus on a une fréquence basse (le temps est dilaté et semble plus court)
Avec cette réflexion, je m'aperçois que la fréquence du mort et celui du nouveau-né sont identiques, renforçant ainsi pour moi l'idée de l'existence de la réincarnation.
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Quand on est jeune, on est léger dont plus proche de la vitesse du temps, donc plus rapide et on perçoit automatiquement le monde qui nous entoure passer lentement, hors quand nous grandissons, nous prenons de la masse, nous sommes plus lourds et donc nous nous éloignons de la vitesse du temps ainsi tout nous parait aller plus vite. La mort serait l'inverse de la vie ? Quand on est vivant, on perçoit moins les choses, les émotions, les couleurs, l'univers, les lois de physique, le passé, le futur, plus on se rapproche de la mort, plus, on verrait mieux, percevrait mieux, mais avec une extrême polarisation, c.-à-d. Le négatif très négatif et le positif très positif, car lorsqu'on est mort tout serait amplifié, mais cette théorie reste encore à développer.
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