L'homme africain doit apprendre à préparer,
à l'image d'une communauté qui sait préparer, mais qui n'a pas de ressources,
et d'une autre qui a des ressources, mais qui ne sait pas préparer, celle sachant préparer
ira prendre ou acheter les épices de la communauté d'en face, et reviendra revendre l'issue
de la cuisson plus chère et s'enrichira, et n'aura ainsi aucun intérêt à fournir la recette
à la communauté ne sachant pas le faire, car son modèle d'enrichissement s'en trouvera immédiatement
menacé et cessera d'être viable pour les 2 camps.
Néanmoins, il existe une solution, la communauté ne sachant pas préparer peut puiser dans
sa culture et dans ses savoirs, une manière d'offrir ces services ou de transformer ses ressources
naturelle d'une manière sans ainsi affecter le marché déjà établi entre les deux communautés
On voit aisément que la mission la plus difficile à son émancipation est attribué au peuple
qui ne détient pas la recette.
C'est cette pente ardue et difficile à laquelle sont confrontés tous les peuples d'Afrique de nos jours.
Les africains doivent donc aller bien au-delà de l'innovation technologique, humaine et culturelle
et traverser ce qu'aucun peuple sur terre n'a enduré jusque-là dans toute histoire de l'humanité
puisque la position qu'elle occupe actuellement est dû au fait qu'elle
a traversé ce qu'aucun peuple sur terre n'a enduré jusque-là dans toute l'histoire de l'humanité
pour espérer un jour se voir respecter et placer sur un piédestal, mais pour cela
il faudra beaucoup d'amour et de jeu en équipe
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